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  • Lot n° 198 Deux ouvrages de partitions appartenant à la Comtesse Louise de Caumont d’Adde (1788-1870), compositrice et dame de compagnie de l’Impératrice Joséphine à la Malmaison, puis de la Reine Hortense. L’un de format à l’italienne, l’autre format in-folio, en plein maroquin brun et vélin couleur ivoire, les premier plats dorés à ses initiales “L. de C.” et à son nom “Mme. La Ctesse Louise de Caumont”, l’intérieur comprenant un ensemble de partitions manuscrites, créations personnelles et reprises d’autres compositeurs, accompagnées pour certaines des paroles correspondantes, le premier portant une inscription sur la première page “Par Madame la Comtesse Louise de Caumont Dadde”, le second titré à l’intérieur “Souvenirs de Suisse et de Greng, Aout, Septembre, Octobre, 1832”. Usures de la reliure. Accompagnés d’un tapuscrit émanant de Gérard Hubert, conservateur en chef de la Malmaison et daté de juillet 1976, concernant ses recherches sur Mlle de Caumont. Première moitié du XIXe siècle. Historique La comtesse Louise de Caumont est mentionnée dans différentes lettres émanants de proches de l’Impératrice Joséphine entre 1813 et 1814, notamment dans la correspondance d’Annette de Mackau, comtesse de Saint-Alphonse : “Melle de Caumont est celle qui me plaît le plus” ; et dans une lettre de la grande-duchesse Stéphanie de Bade à cette même Annette : “Tu m’as bien manqué, ma bonne et chère Annette. Nous avons bien parlé de toi avec Mlle de Caumont” (AN 156 AP II 3, lettre 243). Plus tardivement, elle est également mentionnée dans le Bulletin mensuel des Sociétés des Lettres, Sciences et Arts de Bar-Le-Duc et Commercy, 1926, pp. 236-237 : “En 1812, un peu de joie semble égayer l'existence de Mme de Caumont, sa fille Louise, grâce à ses démarches, peut annoncer à sa cousine qu’elle peut entrer prochainement au service de l’Impératrice”. Un peu plus loin dans le texte : “En 1814, c’est la mort presque subite de l’Impératrice. Depuis ce triste évènement, écrit Louise depuis Plombières, je suis restée tantôt près de maman, tantôt près de la demoiselle de Saint-Leu qui m’a témoigné beaucoup d’intérêt, ainsi que de son frère le Prince Eugène”. Oeuvre en rapport Dix Romances composées par Madame la Comtesse Louise de Caumont Dadde, ouvrage de partitions imprimé à Paris, chez Bernard Latte, anciennement conservé à la Bibliothèque du Conservatoire de Musique de Paris (inv. A. 5000), aujourd’hui dans les collections de la Bibliothèque Nationale de France.
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